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Articles

Affichage des articles du 2016

A fond (2016) - Nicolas Benamou

Les producteurs ont-ils contacté des constructeurs automobiles afin de faire figurer un modèle existant pour A fond ? Quoi qu'il en soit, le monospace dans lequel les personnages sont transportés, la Medusa, n'existe pas ; et on comprendra pourquoi aucun véhicule réel ne sert de décor. Une famille sur l'autoroute des vacances se retrouve bloquée à 160 km/h en raison d'une défaillance du régulateur de vitesse ; et c'est la porte ouverte à toutes les cascades et toutes les situations délirantes.   Assurément pas un grand film, ni une grande comédie mais les acteurs s'éclatent et ils sont communicatifs. André Dussolier, malgré quarante ans de filmographie, n'a jamais pris la grosse tête et reste capable de s'investir aussi bien dans des films sérieux que dans ce genre de délire. Nous étions en famille. Nous avons bien ri.

Walking dead - 24. Opportunités

D'un côté, les fondations de la nouvelle société se construisent peu à peu. Une foire est même sur le point d’être finalisée ; toute la population survivante s’attèle à ce qu'elle soit une réussite. De l'autre, les inquiétudes et les menaces persistent. Alpha, la femme qui dirige le groupe des chuchoteurs, ces humains qui déambulent recouverts de haillons et de peaux mortes à travers les routes, montre à Rick une immense horde de zombies que les chuchoteurs retiennent et qu'ils peuvent lâcher à tout moment. Il s'agit d'une démonstration de force. Par la même occasion, Alpha fait savoir qu'elle a marqué une frontière entre leurs deux communautés et qu'il ne convient pas de la franchir. Rick découvrira que la frontière est constituée de piquets ornés des têtes coupées de proches de Rick dont le charismatique Ézéchiel. Les lecteurs de Walking dead pouvaient se douter que les chuchoteurs étaient des gens assez malsains, il me semble qu'en réalité,

24 : Redemption

Un temps, il fut question de prolonger les épreuves de Jack Bauer sur grand écran. Un tel film ne vit jamais le jour et il est fort probable que ce ne soit jamais le cas. On peut le regretter. Il reste cependant ce téléfilm qui établit le lien entre les saisons six et sept. Jack Bauer ( Kiefer Sutherland ) est en fuite depuis la fin de la sixième saison . Il s'est réfugié au Sangala, un État africain fictif, où il aide un ancien ami, Carl Benton ( Robert Carlyle ) à la construction d'une école. Parallèlement, le pays connait une vague de rébellion sur le point d'évoluer en coup d’État mené par le général Juma ( Tony Todd ). Le personnage de Jack Bauer n'a vraiment pas de chance. Partout où il se rend, il faut que les armes se mettent à cracher du plomb !  Vient s'ajouter un membre de l'ambassade américaine lui apportant une citation à comparaitre. Jack Bauer a donc été retrouvé, il doit à nouveau partir en cavale. Pendant ce temps, aux États-Unis, Al

James Bond 01. VARGR

Cette récente bande dessinée installant le personnage de Ian Fleming au sein d'une aventure inédite était prometteuse. En couverture, on remarque tout de suite la balafre sur la joue droite de James Bond, telle qu'elle existe à l'origine et qu'aucun acteur n'a jamais porté sur grand écran. Le cinéma n'a jamais illustré de 007 balafré. De plus, l'annonce " d'après l’œuvre de Ian Fleming " est mise en évidence et James Bond lui-même semble autoritaire, dans un dessin rappelant le style des illustrations des années cinquante et soixante. C'est pourtant dans notre monde contemporain que prend place VARGR . Il effectue même une incursion dans la science fiction. Les lecteurs de la maison de Gaspard savent que je n'apprécie pas beaucoup les James Bond au cinéma qui s'égarent dans cette voie ( You only live twice , Moonraker , Die another day ). Cet aspect de VARGR reste cependant acceptable. Pas de vaisseaux spatiaux à signaler, n

Walking dead - 23. Murmures

La fin de Une autre vie annonçait la venue d'une nouvelle menace : un groupe d'humains recouverts de peaux de morts et de vêtements en lambeaux leur donnant ainsi l'allure de morts vivants chuchotant entre eux. Que peut-il bien se passer dans la tête de ces gens pour adopter un aussi effrayant comportement ? Alors que l'on s'attend à un affrontement violent contre eux, les survivants de la colline parviennent à kidnapper l'un d'eux qui, sous le masque de chair, se révèle être une jolie adolescente. Carl, le fils de Rick Grimes, est chargé de s'approcher d'elle et de savoir quelles sont leurs intentions. Il apprend qu'elle a été violée à plusieurs reprises par certains de sa bande et qu'elle ne veut plus les rejoindre. Ces comics s'adressant en priorité aux adolescents, j'ai été surpris de voir abordé le thème du viol. Cela dit, c'est une manière plutôt intéressante d'approcher un sujet aussi terrible, car Walking d

Marcel Gottlieb

Gotlib est mort Pfff

Bad guys (2005) - Linwood Barclay

" - Tu veux quoi, au juste ? demande Harley. Des médicaments ? Si tu veux des médicaments, tu as l'embarras du choix. Je peux te prescrire de l'alprazolam, le générique du Xanax, ou du lorazépam. Il y a aussi le dia zépam et... - Le dia-quoi ? - Le diazépam. Te fie pas à son nom, ce n'est pas un remède contre la diarrhée ! C'est simplement du Valium. Il y a des tonnes de tranquillisants, certains plus efficaces que d'autres et parfois même vraiment dangereux, mais on a interdit les barbituriques : ils créaient des dépendances et pouvaient être mortels. Cela dit, si tu es plutôt du genre médecine naturelle, tu n'as qu'à prendre des tisanes. Enfin quoi qu'il en soit, il faut vraiment que tu mettes la pédale douce ! Harley n'est pas un médecin comme les autres. Disons plutôt que c'est un copain, mais qui aurait un diplôme. Au lycée, Harley et moi on était déjà amis, puis on s'est perdus de vue quand j'ai fait une maîtrise d'an

Predator (1987) - John McTiernan

Predator commence comme tous ces films d'action américains des années quatre-vingt. Un commando de gros bras est constitué pour remplir une mission en environnement hostile à l'extérieur des États-Unis. Ici, il s'agit de retrouver un ministre et son second dont l'hélicoptère s'est écrasé en pleine jungle d'un pays d'Amérique latine indéterminé. Le danger auquel ils sont exposés est la présence de guérilleros dans cette région. Les membres du commando affichent une étonnante décontraction. Menés par Dutch (un Arnold Schwarzenegger en pleine forme) et lourdement armés, il s'agit pour eux d'une mission de routine mais une fois sur place, ils apprennent que cette mission n'est pas exactement celle qui leur fut exposée car en réalité, il faut trouver des agents de la CIA d'un premier groupe de sauvetage qui a échoué. De plus, un être invisible les prend en chasse et les élimine un à un. J'avais vu Predator à sa sortie au cinéma en

Renaud, chansons d'enfer (2016) - Baptiste Vignol

Voilà un excellent livre consacré à Renaud. Il convient de le signaler en préambule car depuis son inattendu retour, l'ancien chanteur énervant suscite un incroyable flot d'écrits dans des bouquins opportunistes et d'exaspérants articles de journaux. Je remercie donc ma sœur qui me l'a offert, son choix est impeccable. Alors, pourquoi s'agit-il d'un excellent livre ? Parce qu'apparemment, Baptiste Vignol suit Renaud depuis pas mal d'années et qu'il ne s'agit pas du premier livre qu'il lui consacre. Très bien écrit (cela aussi, il faut le dire) et certainement doté d'une bonne culture générale, il retrace toute la carrière de Renaud en rédigeant un billet pour chaque chanson de chaque album. Loin de se contenter de les décrire, il révèle tout un tas d'anecdotes et d'informations qui, bien que connaissant assez bien le sujet, m'ont régulièrement surpris ou approfondi ce que je savais. Ainsi, j'apprends que Franck Lang

Westworld (1973) - Michael Crichton

Parce qu'une série inspirée de Westworld a vu le jour récemment, j'ai eu envie de revoir le Blu-ray du film original, rangé dans les étagères du bureau. J'ai toujours plaisir à regarder ce film de science-fiction. L'idée de ce parc d'attractions où, en échange d'une somme exorbitante, les visiteurs peuvent assouvir divers fantasmes dans des environnements peuplés d’androïdes m'amuse toujours. Le monde du Moyen-âge permet de combler sa mégalomanie en se prenant pour un châtelain ou une châtelaine, l'Antiquité romaine offre les orgies et les partouzes propres à sa réputation et l'Ouest des États-Unis du XIXème  siècle autorise le retour à des plaisirs régressifs comme jouer aux cowboys et affronter les robots en duel au revolver. Film américain, le western est donc le secteur le plus présent à l'écran, l'histoire suivant principalement Peter Martin (Richard Benjamin) et John Blane (James Brolin), deux hommes bien décidés à s'amuser

En baie de Somme - 29 et 30 octobre 2016

Photographies - Stéphanie : http://justmefanny.blogspot.fr/

Magnum Force (1973) - Ted Post

Malgré les foudres qui se sont abattues sur Dirty Harry en 1971, Clint Eastwood récidive deux ans plus tard avec ce Magnum Force où il enfile à nouveau le costume de l'inspecteur Harry Callahan. Je pourrais, comme beaucoup (trop) d'autres expliquer que cette suite est une réponse au supposé fascisme du personnage et du film précédent parce que l'inspecteur se trouve confronté à des flics qui n'hésitent pas à assassiner toutes sortes de délinquants, mafieux, proxénètes et autres individus responsables de tous les maux de la société et que Harry est loin d'approuver leurs méthodes. Mais je ne ferais que répéter un discours qui m'inscrirait dans une chaîne moutonnière sans faire preuve du moindre esprit critique. Alors non. Quand on s'apprête à regarder un film dont les affiches mettent en évidence un Clint Eastwood brandissant un énorme revolver vers le public en exagérant délibérément la perspective, il ne faut pas s'attendre à un spectacle des

The magnificent seven ride! (1972) - George McCowan

Avec The magnificent seven ride! , on touche le fond. Scénario, mise en scène, personnages, rien n'est intéressant ni divertissant.  Adieu le format 2,35:1 pour le 1,85:1 moins impressionnant ; et la mise en scène de George McGowan est tellement plate qu'elle ne masque pas l'aspect téléfilm de son long métrage, un sentiment renforcé par des décors médiocres et des acteurs inexpressifs. Même Lee Van Cleef , à qui est cette fois confié le rôle de Chris, n'exprime pas grand chose. Pour le scénario, c'est le même bouillon : le manque d'imagination est flagrant. C'est d'un tel ennui que j'ai failli m'endormir. Le contraste entre les qualités de The magnificent seven et la pauvreté de ce dernier opus est saisissant. The magnificent seven aurait du rester un unique film.

Durango - Tome 17 : Jessie

Je n'imaginais pas apercevoir un nouveau tome de la bande dessinée Durango en parcourant les rayons d'une enseigne culturelle bien connue. En effet,  Le crépuscule du vautour semblait vouloir conclure les aventures du pistolero créé par Yves Swolfs en 1981. De plus, le temps entre chaque nouvel album s'allongeait et Swolfs, bien que gardant la maîtrise du scénario, avait délégué le dessin à un autre dessinateur, Thierry Girod. Il me semblait aussi qu'il préférait se consacrer à d'autres séries de sa création ( Le prince de la nuit , Légende ). Désormais, c'est à un certain Iko qu'est confié la mise en images. Bien qu'un peu trop chargé à mon goût, le graphisme m'a néanmoins rappelé celui des premiers albums dessinés par Swolfs lui-même, avant qu'il ne le "lisse". C'est plutôt plaisant car c'est principalement pour le style du dessin que je me suis attaché à ces westerns dès le milieu des années quatre-vingt. Les nombre

Radin! (2016) - Fred Cavayé

Il était très loin de mes pensées cet ami... ce copain... cette connaissance... enfin, ce gars qui s'était greffé à notre bande de potes pendant quelques années et qui avait d'énormes oursins dans le porte-monnaie. Son souvenir s'est rappelé à moi dès les premières minutes de Radin! .  Qu'est devenu Sam, lui qui demandait très régulièrement, pour économiser de l'essence, qu'on vienne le chercher chez lui pour aller au bar de nuit où l'on avait pris l'habitude de passer nos samedis soir autour d'une bière entre deux parties de billard ou de baby-foot ? Pourtant, c'était lui qui avait le moins de route à faire ! Je crois que c'est Guillaume qui a endossé le plus souvent du rôle de taxi ; et moi, le plus rarement, parce que je n'aime pas qu'on se foute de ma gueule. Pour tout remerciement, Guillaume a eu droit à une Amstel... la bière la moins onéreuse... "pour le chauffeur !" lui avait lancé Sam, généreusement.

Guns of the magnificent seven (1969) - Paul Wendkos

Il ne reste rien du casting original et c'est cette vieille baderne de George Kennedy qui remplace Yul Brynner pour jouer Chris. Guns of the magnificent seven est pourtant plus convaincant que la précédente suite au célèbre film de John Sturges . Des efforts ont été faits pour que le scénario soit un peu plus intéressant que celui de Return of the seven (ce n'était pas difficile) et la mise en scène de Paul Wendkos est meilleure que celle de Burt Kennedy . Elle n'atteint cependant pas la classe du premier film, bien sûr. On sent quand même que les moyens ont été alloués afin d'obtenir un spectacle honnête. Un village mexicain subit, non pas le harcèlement d'une bande de bandits comme c'était le cas dans les deux précédents films, mais celui de l'armée officielle du pays. N'ayant aucune aide des révolutionnaires dont le chef ne pense qu'à se distraire avec l'alcool et les femmes, les villageois n'ont pas d'autre choix que de

Le déjeuner de Sousceyrac (1931) - Pierre Benoit

" C'est un sauvage et dur pays que le Ségala, l'un des plus écartés, des plus ignorés de France. A la lisière du Cantal et du Lot, il n'est plus le Quercy, sans être tout à fait l'Auvergne. Abrupt plateau de roches schisteuses, de granits, de grès, il s'élève, par étages, sous les nuées, avec ses noires châtaigneraies, les maigres champs de seigle auxquels il doit son nom, ses landes qu'au crépuscule les troupeaux désertent, et dont les bruyères agitées sans fin par le triste vent de la nuit demeurent seules sous les étoiles. " Après des vacances dans le Lot cet été, j'ai souhaité poursuivre le plaisir de la découverte des lieux et c'est sur les conseils de Jacques Layani que j'ai lu Le déjeuner de Sousceyrac . Philippe et Jean, deux amis qui rentrent en voiture à Paris, se voient dans l'obligation de faire une halte à Sousceyrac, un petit village du Haut-Quercy à cause d'un ennui mécanique. La famille de Philippe est or

Return of the seven (1966) - Burt Kennedy

Que The magnificent seven soit adapté d'un long métrage japonais est un fait assez connu. Ce qui l'est moins est que le film de John Sturges a fait l'objet de trois suites. En ce qui me concerne, j'ai découvert leur existence lors de leur diffusion en après-midi en période de Noël, il y a bien vingt-cinq ans. De quoi meubler les vacances de fin d'années à bon prix. Parler du retour des sept mercenaires est exagéré tant plusieurs des personnages en question sont morts dans le film original et seul Yul Brynner a accepté de reprendre son rôle, celui de Chris, le chef de la bande. Steve McQueen a laissé la place à Robert Fuller pour jouer Vin et Chico n'a plus les traits de Horst Buchholz mais d'un certain Juliàn Mateos ; et bien sûr, John Sturges n'est plus aux commandes. Les hommes du village où Chico est resté à la fin du précédent film sont enlevés par des bandits pour les obliger à reconstruire un pueblo en ruines. Pour voler à leur se

Walking dead - 22. Une autre vie

Ce volume prend place quelque temps après le précédent. Il me semble que c'est la première fois dans cette série, qu'est faite une ellipse. Est marqué ainsi la fin du conflit contre Negan, une fin peut-être pas durable puisqu'il est retenu prisonnier dans les geôles d'Alexandria où il reçoit les visites régulières de Carl, le fils de Rick Grimes. Quelques indices supposent que le détenu lui manipule l'esprit. Dans la communauté, chacun espère retrouver une vie à peu près normale malgré les murs qui les entourent et les séparent des zombies qui grouillent encore dans le monde extérieur. L'inquiétude se fait également sentir à propos des réserves de nourriture. Quelques rescapés font leur apparition et après les mésaventures auxquelles a du faire face la communauté, la méfiance à leur égard est grande. Les nouveaux venus semblent aussi se méfier et tentent d'en savoir plus sur le fonctionnement d'Alexandria en se rendant secrètement dans des endroit

Dawn of the dead (2004) - Zack Snyder

En 2004, quand j'ai entendu parler de l'arrivée d'un remake de Zombie , le célèbre film d'horreur de George A Romero, ma réaction fut d'abord d'être sceptique. Curieux malgré tout, je m'étais rendu au cinéma pour le voir et étonnamment, la version de Zack Snyder m'avait semblé assez bonne. Comme je m'y attendais, exit la critique de la société de consommation sous-entendu dans le film original mais le remake ne lésinant pas sur les effets sanglants et les scènes de tension et d'angoisse, je pouvais très bien m'en satisfaire. J'avais vu ce que j'étais venu chercher : des individus luttant pour leur survie dans un monde soudainement rempli de morts vivants. Sans pouvoir en expliquer les raisons, j'adore ce thème. J'ai eu récemment envie de regarder à nouveau le DVD (peut-être est ce dû à ma lecture des comics Walking dead ), en version intégrale du film bien évidemment, c'est-à-dire avec plus de gore et de zombies

The magnificent seven (1960) - John Sturges

Le classique des classiques du western américain, The magnificent seven , se voit greffé d'un remake qui sort prochainement. C'est une fois de plus l'occasion de mettre le DVD dans le lecteur et vivre à nouveau cette histoire de cowboys venant en aide à des paysans mexicains qui subissent le pillage régulier d'une bande de bandits dirigés par le terrible Calvera ( Eli Wallach ). Il y avait bien une dizaine d'années que je n'avais pas revu le film de John Sturges et cette séance fut un vrai plaisir. Nous sommes avant la vague des westerns italiens et du cynisme qui caractérise la plupart de ses productions. Dans The magnificent seven , les héros sont valeureux et surtout motivés par la défense des plus faibles. Les mercenaires acceptent d'aider les fermiers pendant plusieurs semaines contre vingt malheureux dollars. De plus, sur place, ils se montreront toujours bienveillants envers eux et leurs familles. Ce western est la manifestation éclatante de

Walking dead - 21. Guerre totale

Voilà encore un volume de Walking dead encore fort mouvementé ! Comme indiqué par son titre, c'est effectivement la guerre, entre la bande à Negan et les autres groupes. Il est encore amusant de constater qu'à l'intérieur d'un univers dont les codes semblaient immuables - j'en ai déjà fait la remarque mais je la répète, il s'agit des bases posées par les films de George A. Romero , qui restent de mon point de vue, toujours et encore, la référence en matière de films de morts vivants (il faudra que je les chronique un de ces jours) - les responsables de Walking dead , tout en prolongeant une certaine tradition, parviennent à apporter quelque innovation, notamment dans ce vingt et unième, avec l'idée de Negan d'infester ses ennemis par des carreaux trempés du sang des zombies, dans le but de les "zombifier". L'idée est amusante ; de mémoire, je n'ai pas souvenir de l'avoir vu dans un de ces nombreux films d'horreur dont j