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Articles

Affichage des articles du novembre, 2013

Ian Fleming is forever

Combien de fois ai-je vu les films de James Bond depuis ce jour de 1988 où la découverte de Dr No  à la télévision m'avait fortement impressionné ? Je l'ignore, j'ai cessé de compter. D'ailleurs, depuis que m'a été offert l'année dernière le coffret blu-ray Bond 50, je les revois à nouveau un à un dans une qualité d'image et de son inédite. On peut percevoir des détails jamais observés auparavant. C'est une redécouverte ; un vrai plaisir. Après une énième rétrospective de toute la série cinématographique en 2009 et 2010, je ne me voyais pas enchaîner à nouveau rapidement sur le premier film avant au moins... deux ans... maximum. En réalité, pour la première fois, je craignais de me lasser. Je n'avais cependant pas non plus très envie d'ignorer complètement l'univers bondien pendant une aussi longue période. Il fallait que mon addiction à ce personnage soit un tant soit peu nourrie. Mon regard s'est alors tourné vers les livres de Ia

Vingt-huit mois de blog - Les statistiques

Après quatre mois où le nombre de pages vues était en dessous des 2000 mensuelles, le mois de novembre marque une hausse puisque le nombre de pages vues est de 2325. Le total depuis l'ouverture du blog est de 48615. Les 10 articles les plus vus sont les mêmes... ... comme les 10 premiers pays visiteurs :

The Hobbit - An unexpected journey (2012) - Peter Jackson

Je n'ai pas lu The Hobbit , le livre de J. R. R. Tolkien d'où est issu le présent film, premier opus d'une trilogie dont le deuxième sort dans quelques semaines et le troisième l'année prochaine. J'avais tenté la lecture de The Lord of the rings mais j'avais abandonné assez rapidement tant l'ensemble me semblait long et assez ennuyeux. En revanche, j'avais adoré les adaptations que Peter Jackson en avait tiré, impressionnante trilogie de fantasy . J'avais prévu de voir The Hobbit au cinéma mais j'ai trop attendu, un peu freiné par les critiques mitigées voire mauvaises dont il a fait l'objet ; et le film a été retiré de l'affiche. J'ai acheté le Blu-ray 3D à sa sortie mais son visionnage fut à plusieurs reprises retardé. Là aussi, le souvenir des avis loin d'être dithyrambiques a du me conduire à ne pas me précipiter pour mettre le disque dans le lecteur ; mais interpellé par la campagne de promotion qui a commencé pour

Octopussy and The living daylights (1966) - Ian Fleming

Ne nous trompons pas, The man with the golden gun est le dernier livre écrit par Ian Fleming et il s'agit donc bien de la dernière aventure de James Bond qu'il ait imaginée. Octopussy and The living daylights  est un recueil de nouvelles paru deux ans après la mort de l'écrivain et qui regroupe en fait des textes publiés précédemment dans différentes publications. Ainsi, ce dernier livre sorti à titre posthume ne suit pas la progression que Ian Fleming s'est attaché à élaborer d'un ouvrage à l'autre. Le recueil For your eyes only  marquait une pause dans cette progression. C'est après celui-ci qu'apparaît le SPECTRE alors que jusque là, l'agent du MI6 avait systématiquement combattu de façon directe ou indirecte SMERSH et l'URSS. Le recueil Octopussy and The living daylights  peut se voir non pas comme une pause mais comme des archives exhumées pour évoquer quelques missions passées de James Bond  qui ont été rapportées par son créateur

On her Majesty's secret service (1969) - Peter Hunt

Sean Connery ne souhaitant plus interpréter James Bond , il a fallu le remplacer et c'est sur George Lazenby que s'est arrêté le choix des producteurs. Dommage. S'il est bon dans les scènes physiques, s'il n'est pas aussi mauvais acteur qu'on a bien pu l'affirmer, il ne parvient jamais à convaincre entièrement malgré l'humanité qu'il donne à son personnage, ce que Sean Connery n'avait pas eu l'occasion de mettre en avant. En ce qui me concerne, le principal problème de George Lazenby est son visage. Le nez tordu vers la gauche et le menton vers la droite, oreilles décollées et gros grain de beauté sur la joue, il affiche une tronche qui va de travers. C'est assez gênant pour jouer les espions romantiques tombant amoureux de la formidable Teresa Di Vincenzo , un amour réciproque qui se conclura par un mariage... et la mort. C'est bien là le seul défaut majeur de On her Majesty's secret service  qui est peut-être l'uniqu