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Articles

Affichage des articles du novembre, 2011

Quatre mois de blog, les statistiques

Nous sommes le 25, c'est le moment de faire le point sur le mois passé et sur les 4 premiers mois du blog. Le nombre total de pages vues est de 3227 et pour ce dernier mois, il y en a eu 1190. Record à nouveau battu ! Les trois premiers pays visiteurs sont les mêmes : France, États-Unis et Belgique. www.google.fr, www.jamesbond-fr.com et www.google.com sont encore les trois premiers sites d'origine. Il y a eu du changement dans le top 3 des articles les plus vus. Pour la première place, pas de surprise. L'article Mon 11 septembre 2001 reste en tête du classement avec 941 pages vues. L'article Nevermind - Nirvana - 20 ans plus tard est deuxième alors que le mois dernier, je pensais que c'était un bide. Il s'est mis soudainement à grimper dans le classement de façon étonnante et a atteint aujourd'hui les 432 pages vues. Le troisième est Le Touquet - British week : week-end James Bond des 8 et 9 octobre 2011 . Ainsi, le sujet concernant le we

Live and let die (1954) - Ian Fleming

" Il y a de bons moments dans la vie d'un agent secret. Des moments de vrai luxe, par exemple quand on lui demande de jouer le rôle d'un homme très riche. Il y a aussi des occasions où il se réfugie dans la belle vie pour effacer le souvenir du danger et l'ombre de la mort. Et des fois où, comme c'était le cas présent, il est reçu en invité sur le territoire d'un service secret allié ". Les premières phrases du second roman de Ian Fleming mettant en scène James Bond posent tout de suite l'ambiance qui va régner au fil des pages. Cette mission sera certainement l'une des plus dangereuses de l'espion, la mort planant constamment au-dessus de sa tête et de celle de Felix Leiter , le représentant de la CIA qui l'accueille à New-York et avec qui il a fait connaissance dans Casino Royale . Les deux agents sont chargés d'enquêter sur un certain Mister Big, mystérieux mafieux qui a la main mise sur Harlem grâce aux superstitions vaudou qu

127 hours (2010) - Danny Boyle

S'il y a bien une caractéristique du cinéma de Danny Boyle , c'est celle de l'expérience extrême. Chacun de ses films met en scène une situation, un événement, une histoire hors du commun. Des personnages de Shallow grave ( Petits meurtres entre amis ) dont l'amitié est fortement mise à mal à cause de la valise pleine d'argent de leur colocataire mort peu de temps après son emménagement à Aron Ralston dans 127 hours ( 127 heures ) coincé au fond d'un canyon à cause de son bras prisonnier entre un rocher et la paroi rocailleuse en passant par les londoniens de 28 days later ( 28 jours plus tard) qui tentent de survivre suite à la propagation d'un virus tranformant les infestés en monstres sanguinaires, le metteur en scène leur fait vivre des cauchemars bien réels, des traumatismes psychologiques et physiques indéniables. Alors rien d'étonnant à ce qu'il ait mis en scène l'histoire vraie de Aron Ralston , ce jeune américain adepte de randonnées

Intouchables (2011) - Eric Toledano et Olivier Nakache

L'un est blanc, riche aristocrate et handicapé, l'autre est noir, pauvre banlieusard et solide. Le premier, par défi, l'engage à son service comme aide à domicile. L'histoire est inspirée d'une situation réelle. Ainsi, tous les éléments sont présents pour nous servir une comédie dramatique bien pensante, à l'humour facile, remplie de clichés et de bons sentiments jusqu'aux procédés tire-larmes les plus éculés. Pourtant rien de tout cela à l'écran. Quand le générique de fin défile, on s'aperçoit qu'on n'a pas vu le temps passer à l'intérieur d'un film qui a su éviter le pathos pendant ses presque deux heures. Intouchables commence par la course-poursuite en plein Paris entre une Maserati et un véhicule de police. Driss ( Omar Sy ) est au volant et Philippe ( François Cluzet ) est assis sur le siège passager. La police les arrête. Driss explique qu'ils vont aux urgences pour son passager handicapé qui est pris d'une atta

Coldplay, l'héritier de U2 ?

S'il y a bien un groupe rock emblématique de mes années d'adolescence et de jeune homme, c'est U2 . Ils avaient un son nouveau dans leurs instruments et notes de musique, quelque chose qui les distinguait de tous les autres. Le symbole de cette nouveauté, pour moi, résidait principalement dans leur titre Sunday Bloody Sunday que j'ai pourtant découvert presque 10 ans après sa sortie. L'album War dont est issu le titre était toujours écouté par le jeunes au début des années 90. Le point culminant de la réussite artistique de U2 est sans conteste l'album The Joshua Tree de 1987 où aucun titre n'inspire de lassitude chez celui qui l'écoute. Il n'y a qu'à se laisser transporter et aujourd'hui encore cet album est une référence. Après un Achtung Baby plus tendu (même s'il contient One l'une des plus belles chansons d'amour du rock) que leurs disques précédents mais tout aussi génial que The Joshua Tree , la fin de U2 à me

Les aventures de Tintin - Le secret de La Licorne (2011) - Steven Spielberg

Avant même de savoir lire, mon père m'avait mis des albums de Tintin entre les mains et me les lisait le soir au bord du lit avant de m'endormir. Je crois que la première chose que j'ai voulu lire par moi-même fût un album d' Hergé . Lequel était-ce ? Je n'en ai aucun souvenir mais les aventures de Tintin, je les ai dévoré plus d'une fois. En grandissant, j'ai voulu en savoir plus sur cet univers. Après les albums couleurs, je découvrais ceux qui avaient été réalisés dans un premier temps en noir et blanc. Il y avait aussi  Tintin au pays des Soviets jamais refait en couleurs ainsi que  Totor CP des Hannetons une sorte de brouillon du reporter. Gamin, j'ai vu la série animée de Belvision qui prenait de grandes libertés avec les récits d'Hergé et dans les années 90, celle de Ellipse, plus fidèle. Il y a aussi les films Tintin et le mystère de la Toison d'or et Tintin et les oranges bleues sans oublier les long-métrages d'animation co