La seule raison pour laquelle je me suis intéressé à ce Age of heroes est qu'un des acteurs (James D'Arcy) interprète Ian Fleming, c'est-à-dire celui à qui nous devons l'espion britannique, James Bond 007. L'action prend place pendant la seconde guerre mondiale à la création du 30 Assault Unit. L'histoire veut que ce soit Ian Fleming qui en soit à l'origine.
Le personnage de Ian Fleming, ici, est en réalité secondaire puisque le film s'attache surtout à suivre l'unité militaire qu'il a initié au cours d'une mission en Norvège. Que cette mission ait réellement existé ou pas, je n'en ai aucune idée mais il est clair que le film ne dispose pas des moyens de ses ambitions. La photographie est pauvre, la mise en scène plutôt plate et le scénario n'offre aucun suspense ou de rebondissements palpitants.
Décidément, lorsque Ian Fleming est utilisé dans une œuvre, c'est une déception. J'avais ainsi soigneusement évité de dire ici ce que j'ai pensé de la mini série Fleming : The man who would be Bond après sa diffusion sur Arte, car pourtant prometteuse et réalisée avec soin, elle se concluait dans l'absurdité la plus complète.
Il existe aussi deux téléfilms plus anciens. Le premier s'intitule Goldeneye (comme le Bond de 1995 mais surtout comme le nom de la propriété de Fleming en Jamaïque) avec Charles Dance dans le rôle de l'écrivain et le second The secret life of Ian Fleming avec Jason Connery (le propre fils de Sean) pour le même rôle. Si dans mes souvenirs, le premier semblait plutôt conforme à la réalité des faits, il était d'un ennui mortel. Quant à l'autre, c'était du grand n'importe quoi.
Finalement, rien ne vaut une biographie écrite avec le sérieux requis. J'avais commencé la lecture de celle rédigée par Andrew Lycett mais n'étant pas traduite, j'ai du faire face à un anglais qui m'a assez vite rebuté. Comme je n'aime pas rester sur un goût d'échec, je la reprendrai un jour ou l'autre.
En France et en français, nous avons le livre de Jacques Layani, On ne lit que deux fois Ian Fleming. Très intéressant, il contient des éléments biographiques comme des éléments d'analyse de l’œuvre de l'écrivain. J'avais, il y a quelque temps, rédigé une chronique que vous pouvez retrouver ICI.
Pour revenir à Age of heroes et conclure, vous l'aurez compris, je n'ai pas grand chose à en dire car c'est loin d'être un bon film de guerre.
Décidément, lorsque Ian Fleming est utilisé dans une œuvre, c'est une déception. J'avais ainsi soigneusement évité de dire ici ce que j'ai pensé de la mini série Fleming : The man who would be Bond après sa diffusion sur Arte, car pourtant prometteuse et réalisée avec soin, elle se concluait dans l'absurdité la plus complète.
Il existe aussi deux téléfilms plus anciens. Le premier s'intitule Goldeneye (comme le Bond de 1995 mais surtout comme le nom de la propriété de Fleming en Jamaïque) avec Charles Dance dans le rôle de l'écrivain et le second The secret life of Ian Fleming avec Jason Connery (le propre fils de Sean) pour le même rôle. Si dans mes souvenirs, le premier semblait plutôt conforme à la réalité des faits, il était d'un ennui mortel. Quant à l'autre, c'était du grand n'importe quoi.
Finalement, rien ne vaut une biographie écrite avec le sérieux requis. J'avais commencé la lecture de celle rédigée par Andrew Lycett mais n'étant pas traduite, j'ai du faire face à un anglais qui m'a assez vite rebuté. Comme je n'aime pas rester sur un goût d'échec, je la reprendrai un jour ou l'autre.
En France et en français, nous avons le livre de Jacques Layani, On ne lit que deux fois Ian Fleming. Très intéressant, il contient des éléments biographiques comme des éléments d'analyse de l’œuvre de l'écrivain. J'avais, il y a quelque temps, rédigé une chronique que vous pouvez retrouver ICI.
Pour revenir à Age of heroes et conclure, vous l'aurez compris, je n'ai pas grand chose à en dire car c'est loin d'être un bon film de guerre.
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