El Cobra fait directement suite à Un pas vers l'enfer. Durango continue son escapade vengeresse. Dans le précédent album, il n'avait éliminé que les petites mains. Cette fois il entend bien remonter jusqu'au responsable du meurtre de sa femme, le commanditaire. Il s'agit d'un certain Steiner, un entrepreneur qui a confié à un tueur à gage le soin de liquider son intermédiaire parce que celui-ci s'est permis de le doubler.
Bien sûr, les chemins de Durango et de ce El Cobra se croiseront. La narration est construite vers ce duel que l'on espère à la hauteur du suspense qu'elle met en place, d'autant plus que El Cobra est décrit comme étant une belle ordure.
L'ambiance générale reste toujours assez proche des westerns italiens même si le style graphique s'est "lissé" depuis maintenant plusieurs albums, et même de façon un peu plus prononcée depuis que les crayons ont été confiés à Thierry Girod avec l'album précédent. Il s'agit de toute façon d'une tendance générale, l'uniformisation du monde touchant de plus en plus de domaines, le cinéma comme la musique comme la bande dessinée, etc.
Je ne connais pas de westerns italiens qui ne soient pas un peu sales à un moment ou à un autre, même les versions comiques de Terence Hill et Bud Spencer ont leurs moments un peu laids. Et quoi qu'il en soit, le western transalpin n'existe plus depuis longtemps, Durango étant peut-être l'un des derniers endroits où perdure le genre.
A l'inverse de la grande majorité des précédents albums, je n'ai pas remarqué de référence ou de clin d’œil à un autre western, qu'il s'agisse d'un film ou d'une autre bande dessinée.
Bien sûr, les chemins de Durango et de ce El Cobra se croiseront. La narration est construite vers ce duel que l'on espère à la hauteur du suspense qu'elle met en place, d'autant plus que El Cobra est décrit comme étant une belle ordure.
L'ambiance générale reste toujours assez proche des westerns italiens même si le style graphique s'est "lissé" depuis maintenant plusieurs albums, et même de façon un peu plus prononcée depuis que les crayons ont été confiés à Thierry Girod avec l'album précédent. Il s'agit de toute façon d'une tendance générale, l'uniformisation du monde touchant de plus en plus de domaines, le cinéma comme la musique comme la bande dessinée, etc.
Je ne connais pas de westerns italiens qui ne soient pas un peu sales à un moment ou à un autre, même les versions comiques de Terence Hill et Bud Spencer ont leurs moments un peu laids. Et quoi qu'il en soit, le western transalpin n'existe plus depuis longtemps, Durango étant peut-être l'un des derniers endroits où perdure le genre.
A l'inverse de la grande majorité des précédents albums, je n'ai pas remarqué de référence ou de clin d’œil à un autre western, qu'il s'agisse d'un film ou d'une autre bande dessinée.
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