Accéder au contenu principal

Adele

Il y a un peu plus de deux ans, je tombais par hasard sur une voix qui allait m'accompagner tout l'été sur mon lieu de vacances dans les montagnes d'Isère. La chanson était Hometown Glory et l'auteur-interprète s'appelait Adele. J'ai très vite découvert l'intégralité de son premier album, 19, dont est issue la chanson en question. En ce mois de juillet 2009, la jeune britannique n'avait pas encore percé dans le monde comme elle l'a fait récemment avec son titre Rolling in the deep issu de son deuxième album 21. La preuve, Hometown Glory était sorti en single en 2007.

Elle a fait du chemin depuis ; et il semble qu'elle soit partie pour rester sur la bonne voie.

Début septembre, par une indiscrétion non voulue (ou voulue, en matière de communication, toutes les façons de faire sont bonnes), elle reconnaissait au cours de l'émission britannique "The Jonathan Ross show" qu'elle retournait bientôt en studio pour enregistrer la chanson d'un film. Alors qu'elle se ressaisissait en affirmant qu'elle en avait trop dit, l'animateur se mettait à chantonner le célèbre thème de James Bond.

La nouvelle, si elle se confirme, est formidable. Adele a en elle tout le potentiel artistique pour offrir un thème aussi mémorable que le Goldfinger de Shirley Bassey, le Live and let die de Paul McCartney ou encore le GoldenEye de Tina Turner.

Wait and see...

En attendant, je vous propose de découvrir ou redécouvrir Hometown Glory en live. Ça changera un peu de Rolling in the deep.


Une question : Je me suis toujours demandé si le pianiste n'était pas Damien Rice. Si quelqu'un a une réponse à m'apporter, merci.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Vertige (2011) - Franck Thilliez

J'ai découvert Franck Thilliez  il y a quelques années avec La chambre des morts , polar que j'avais apprécié lire. Plus tard, j'ai lu Train d'enfer pour ange rouge , thriller plutôt bien construit qui plonge le lecteur dans un univers qui se montre de plus en plus effrayant. J'ai achevé la lecture de  Vertige  récemment, son avant dernier livre qui me fait dire que l'auteur s'est amélioré entre ses premières œuvres et celle-ci ; Avec toujours ce goût pour les descriptions de scènes et situations morbides. Jonathan Touvier se réveille au fond d'une grotte glacée. Il est attaché au poignet par une chaîne qui restreint considérablement son champs de déplacement. Il y a son chien aussi, endormi et qui ne tardera pas à sortir du sommeil dans lequel il a été plongé. Deux autres hommes aussi se réveillent dans le même lieu : Farid, qui lui est enchaîné à la cheville et Michel, libre de ses mouvements mais qui a un masque de fer fixé autour de la tête. P

Fright Night (1985) - Tom Holland

 Le 14 septembre prochain sort  Fright Night avec Colin Farrell dans le rôle de Jerry Dandrige, un vampire qui va être démasqué par son jeune voisin. Le bouche à oreille n'est visiblement pas formidable et aux USA, c'est un bide. Mais la sortie prochaine de ce film a été l'occasion pour moi de ressortir le DVD du film original de 1985 ; car Fright Night est un remake de... Fright Night traduit Vampire... Vous avez dit vampire? en France. Y a t-il une logique dans la production des remakes de films américains? Le but pour les producteurs est clairement de se faire quelques dollars de plus sur le compte d'une oeuvre qui a déjà fonctionné, qui a fait parlé d'elle. On a par exemple des remakes de Psycho ( Psychose ), King Kong , Night of the living dead ( La nuit des morts vivants ), Rollerball ou encore The Texas chainsaw massacre ( Massacre à la tronçonneuse ) ou Cape fear ( Les nerfs à vif ). Souvent, le film d'origine a été un succès ou a vu sa n

Night of the living dead (1968), Zombie (1978), Day of the dead (1985) - George A. Romero

En apprenant la mort de George A. Romero le 16 juillet 2017, j'ai tenu à lui rendre mon petit hommage en regardant à nouveau sa trilogie des morts vivants : Night of the living dead , Zombie et Day of the dead . C'était surtout l'occasion de revoir des films qui m'amusent beaucoup et de les partager avec Stéphanie qui ne les avait jamais vu... Lorsqu'on lit un sujet sur Night of the living dead , il y a de grandes chances que soit signalé, derrière son aspect film d'horreur, son propos contestataire, à savoir la destruction symbolique de la famille traditionnelle et son antiracisme du fait que le héros soit joué par un acteur noir, Duane Jones, chose rare effectivement à l'époque. Personnellement, j'ai toujours douté de ces intentions prêtées à George A. Romero. D'abord, il a toujours affirmé qu'il avait choisi Duane Jones pour ses talents d'acteur ; ce qui est cependant la preuve d'une ouverture d'esprit de sa part