L'or de Duncan fait directement suite à Une raison pour mourir. Duncan est le père de Lucy avec qui l'on fait connaissance dans le numéro précédent où Durango avait pour charge sa protection ainsi que celle de son mari au cours d'un week-end de chasse. Rongé par le remord d'avoir laissé sa fille à des maquereaux, Duncan a fait en sorte de la mettre en dehors du besoin en lui laissant avant sa mort une carte indiquant l'emplacement où il a caché un important magot. Durango se charge de l'escorter jusque là. Évidemment, cette chasse au trésor ne se résumera pas à une simple ballade, d'autres sont sur la même piste.
Parfois, je me demande si certaines références que j'ai pu déceler dans les albums précédents sont bien intentionnelles. Par exemple, je doute de celle à The long riders dans Les forces de la colère.
Avec L'or de Duncan, il n'y a aucun mystère. En effet, à la page 15, on aperçoit un cowboy chapeau blanc sur la tête, foulard rouge autour du cou et vêtu d'une chemise jaune sous un gilet noir sans manche en guise de vêtements. De qui d'autre que Lucky Luke peut-il s'agir ?
Ensuite, les recherches de Durango et Lucy les conduisent sur la tombe d'un certain Bob Robertson. Ce nom n'est pas le fruit du hasard. Il s'agit du pseudonyme utilisé par Sergio Leone pour son premier western, Per un pugno di dollari. Un peu plus loin, Durango met la main sur un portrait de ce Robertson. Il ressemble à Sergio Leone, indéniablement.
Yves Swolfs connait ses classiques, c'est évident.
Le récit devient donc rapidement une chasse au trésor où Lucy et Durango devront faire face à Ryan, l'ancien adjoint de Duncan et la bande de Dragon Lily aussi appâtée par le butin.
Quel que soit l'univers dans laquelle elle se déroule, la chasse au trésor est un thème plutôt bateau mais Yves Swolfs s'en tire honorablement et maintient l'intérêt jusqu'au mot "fin" ; et la dernière image est un pur plaisir iconographique : le héros chevauchant vers une large plaine au soleil couchant.
Parfois, je me demande si certaines références que j'ai pu déceler dans les albums précédents sont bien intentionnelles. Par exemple, je doute de celle à The long riders dans Les forces de la colère.
Avec L'or de Duncan, il n'y a aucun mystère. En effet, à la page 15, on aperçoit un cowboy chapeau blanc sur la tête, foulard rouge autour du cou et vêtu d'une chemise jaune sous un gilet noir sans manche en guise de vêtements. De qui d'autre que Lucky Luke peut-il s'agir ?
Ensuite, les recherches de Durango et Lucy les conduisent sur la tombe d'un certain Bob Robertson. Ce nom n'est pas le fruit du hasard. Il s'agit du pseudonyme utilisé par Sergio Leone pour son premier western, Per un pugno di dollari. Un peu plus loin, Durango met la main sur un portrait de ce Robertson. Il ressemble à Sergio Leone, indéniablement.
Yves Swolfs connait ses classiques, c'est évident.
Le récit devient donc rapidement une chasse au trésor où Lucy et Durango devront faire face à Ryan, l'ancien adjoint de Duncan et la bande de Dragon Lily aussi appâtée par le butin.
Quel que soit l'univers dans laquelle elle se déroule, la chasse au trésor est un thème plutôt bateau mais Yves Swolfs s'en tire honorablement et maintient l'intérêt jusqu'au mot "fin" ; et la dernière image est un pur plaisir iconographique : le héros chevauchant vers une large plaine au soleil couchant.
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