Rick, Michonne et Glenn parviennent à fuir Woodsburry, le lieu où l'autoproclamé gouverneur régnait en maître, pour retourner au pénitencier. Avec eux, Martinez qui ne supportait plus le gouverneur. Mais à leur arrivée à la prison, ils constatent que l'entrée est grande ouverte et que les morts vivants ont investi l'enceinte du bâtiment. L'inquiétude est grande quant au sort de ceux qui étaient restés là...
Les zombies sont une évidente menace pour les survivants mais les humains ne le sont-ils pas pour eux-même ? Martinez avait en réalité pour mission de retourner voir le gouverneur pour lui indiquer le chemin vers la prison, lieu nettement plus sécurisé.
Rick prend de la consistance. Il n'hésitera pas à écraser Martinez avec un camping-car alors qu'il partait rejoindre le gouverneur pour lui donner le chemin vers la prison. Rick s'interrogera sur sa propre condition d'être humain pour avoir tué froidement Martinez.
Bien sûr, on reste sur des considérations assez basiques mais les interrogations qui agitent quelques personnages les rendent attachants, humains et maintiennent l'intérêt pour un univers qui a pourtant été exploité de nombreuses fois, principalement au cinéma. D'ailleurs, la dernière en date s'appelle Maggie et met en scène un Arnold Schwarzenegger dont la fille devient peu à peu un zombie dans un monde où semble se propager une pandémie "zombiesque".
Décidément, les histoires de zombies se déclinent sous toutes les formes jusqu'aux plus improbables ; mais le côté "survivalisme" de Walking dead me parle plus qu'un pseudo drame à la mode "zombie", d'autant plus que les premiers avis que j'ai pu lire sur ce film ne sont pas très encourageants. C'est de cette façon que George A. Romero a développé les films de sa trilogie des morts vivants. Si j'en reviens toujours à eux, c'est que, de mon point de vue, aucune mise en scène n'a fait mieux, même lorsque Romero lui même prolongera son univers de trois autres réalisations (Land of the dead, Diary of the dead et Survival of the dead).
Et pourtant, Walking dead, jusqu'ici, perpétue le thème des morts vivants avec brio. L'avantage du comic est que, s'étendant sur plusieurs numéros, il peut prendre le temps de développer la personnalité des protagonistes tout comme imaginer des situations originales et inédites, ce qui est impossible à faire au sein d'un film du fait de sa durée limitée.
Les zombies sont une évidente menace pour les survivants mais les humains ne le sont-ils pas pour eux-même ? Martinez avait en réalité pour mission de retourner voir le gouverneur pour lui indiquer le chemin vers la prison, lieu nettement plus sécurisé.
Rick prend de la consistance. Il n'hésitera pas à écraser Martinez avec un camping-car alors qu'il partait rejoindre le gouverneur pour lui donner le chemin vers la prison. Rick s'interrogera sur sa propre condition d'être humain pour avoir tué froidement Martinez.

Décidément, les histoires de zombies se déclinent sous toutes les formes jusqu'aux plus improbables ; mais le côté "survivalisme" de Walking dead me parle plus qu'un pseudo drame à la mode "zombie", d'autant plus que les premiers avis que j'ai pu lire sur ce film ne sont pas très encourageants. C'est de cette façon que George A. Romero a développé les films de sa trilogie des morts vivants. Si j'en reviens toujours à eux, c'est que, de mon point de vue, aucune mise en scène n'a fait mieux, même lorsque Romero lui même prolongera son univers de trois autres réalisations (Land of the dead, Diary of the dead et Survival of the dead).
Et pourtant, Walking dead, jusqu'ici, perpétue le thème des morts vivants avec brio. L'avantage du comic est que, s'étendant sur plusieurs numéros, il peut prendre le temps de développer la personnalité des protagonistes tout comme imaginer des situations originales et inédites, ce qui est impossible à faire au sein d'un film du fait de sa durée limitée.
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