The Fellowship of the Ring posait les bases de l'épopée de The Lord of the rings. Dans The two towers, les forces de Sauron sont en marche et commencent la conquête et l'anéantissement des royaumes. Le sort du monde ne tient que dans les mains de deux petits hobbits, Frodo Baggins (Elijah Wood) et Samwise Gamgee (Sean Astin), en marche pour jeter l'anneau unique dans les flammes de la montagne du destin, seul moyen de vaincre définitivement Sauron. Ils doivent cependant composer avec Gollum qui accepte de les guider mais désire avant tout reprendre l'anneau unique qui fût jadis en sa possession. Pendant ce temps, les humains font ce qu'ils peuvent pour résister.
Le deuxième volet de la trilogie confirme l'immense travail accompli sur l’adaptation de l'oeuvre de Tolkien et le talent de Peter Jackson. Peut-être un peu plus bavard que le premier opus, ce qui a pour effet que le film peut parfois sembler un peu longuet, The two towers n'en constitue pas moins une ambitieuse aventure qui met en place de nouveaux personnages et enjeux qui éclateront dans The return of the King. De plus, se confirme le thème de fond, celui de la destruction de la nature face à l'industrialisation du monde. En effet, comment interpréter autrement la prise de conscience des Ents, ces créatures à apparence d'arbres gigantesques qui acceptent de prendre part au conflit face aux armées de Sauron et de Saroumane quand ils s'aperçoivent qu'elles anéantissent la flore sur leur passage ?
Du deuxième volet, on retiendra aussi le personnage de Gollum entièrement en images de synthèse à partir de la performance d'Andy Serkis. En 2002, la performance était inédite mais revoir le film aujourd'hui permet de se rendre compte que les effets spéciaux ont encore évolué entre temps. En effet, aujourd'hui Gollum peut parfois apparaître factice, ce qui n'était pas le cas il y a 10 ans. J'en veux pour preuve par exemple les améliorations apportées par Rise of the planet of the apes sorti en 2011 ou les animaux et surtout le tigre de Life of Pi que l'on a peut admirer depuis quelque semaines sur grand écran en 3D.
Le point d'orgue de The two towers est sa bataille finale au gouffre de Helm, l'une des plus impressionnantes batailles que le cinéma ait pu offrir ; Et pourtant, elle n'est rien par rapport à celle que Peter Jackson et ses équipes mettront en place dans The return of the King qui sortira l'année suivante et qui conclura l'une des plus magistrales sagas du 7ème art.
Le point d'orgue de The two towers est sa bataille finale au gouffre de Helm, l'une des plus impressionnantes batailles que le cinéma ait pu offrir ; Et pourtant, elle n'est rien par rapport à celle que Peter Jackson et ses équipes mettront en place dans The return of the King qui sortira l'année suivante et qui conclura l'une des plus magistrales sagas du 7ème art.
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