En lisant ce troisième volet de Walking dead, me sont remontés en mémoire les propos de Umberto Eco dans Il superuomo di massa au sujet des romans feuilletons. En effet, même si l'on n'est pas en présence de surhommes (le thème central de son essai est celui du surhomme dans la littérature populaire ; mais n'y a t-il pas quelque chose de surhumain dans le fait de survivre dans un monde rempli de morts vivants ?), les procédés employés sont finalement pas loin de ceux utilisés par Eugène Sue et Alexandre Dumas. Il ne s'agit que du troisième volume et déjà, les techniques narratives de ce comic semblent déjà correspondre à ce qu'il a perçu chez ces auteurs : "La joie du récit comme fin en soi".
Tout comme les lecteurs de Sue et Dumas se délectaient des rallonges de leurs romans, l'amateur de comics ne peut que se satisfaire des intrigues et sous intrigues qui composent Walking dead ; elles sont déjà nombreuses et nous n'en sommes en réalité qu'au début (22 volumes en France à ce jour !). Au delà de l'aspect principal, à savoir la survie d'un groupe d'êtres humains sur une Terre désormais remplie de zombies, se développent depuis le début des intrigues amoureuses, des histoires d'amitiés contrariées, des trahisons, etc. Des thèmes plus sérieux apparaissent également notamment celui de la justice et la façon de la rendre au sein de cette micro société qui tente de survivre et de s'organiser alors que le chaos règne autour.
Rien d'étonnant donc à ce que Walking dead soit devenue une série télévisée car les séries américaines fonctionnent, pour beaucoup, sur des recettes similaires. Concernant Walking dead, s'ajoutent aussi des romans (quatre) et des jeux vidéo (deux).
Ici, les survivants s'installent dans une prison. En effet, avec ses grandes clôtures, elle constitue une excellente protection contre les zombies. Il leur faudra néanmoins cohabiter avec quelques détenus qui ont choisi de rester là depuis la survenance de l'apocalypse.
En ce qui me concerne, ce comic m'amusant beaucoup (en lire quelques pages me détend au réveil les matins du week-end en buvant un café encore allongé dans le lit), je compte bien me procurer les tomes suivants.
Tout comme les lecteurs de Sue et Dumas se délectaient des rallonges de leurs romans, l'amateur de comics ne peut que se satisfaire des intrigues et sous intrigues qui composent Walking dead ; elles sont déjà nombreuses et nous n'en sommes en réalité qu'au début (22 volumes en France à ce jour !). Au delà de l'aspect principal, à savoir la survie d'un groupe d'êtres humains sur une Terre désormais remplie de zombies, se développent depuis le début des intrigues amoureuses, des histoires d'amitiés contrariées, des trahisons, etc. Des thèmes plus sérieux apparaissent également notamment celui de la justice et la façon de la rendre au sein de cette micro société qui tente de survivre et de s'organiser alors que le chaos règne autour.
Rien d'étonnant donc à ce que Walking dead soit devenue une série télévisée car les séries américaines fonctionnent, pour beaucoup, sur des recettes similaires. Concernant Walking dead, s'ajoutent aussi des romans (quatre) et des jeux vidéo (deux).
Ici, les survivants s'installent dans une prison. En effet, avec ses grandes clôtures, elle constitue une excellente protection contre les zombies. Il leur faudra néanmoins cohabiter avec quelques détenus qui ont choisi de rester là depuis la survenance de l'apocalypse.
En ce qui me concerne, ce comic m'amusant beaucoup (en lire quelques pages me détend au réveil les matins du week-end en buvant un café encore allongé dans le lit), je compte bien me procurer les tomes suivants.
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