Il ne reste rien du casting original et c'est cette vieille baderne de George Kennedy qui remplace Yul Brynner pour jouer Chris.
Guns of the magnificent seven est pourtant plus convaincant que la précédente suite au célèbre film de John Sturges. Des efforts ont été faits pour que le scénario soit un peu plus intéressant que celui de Return of the seven (ce n'était pas difficile) et la mise en scène de Paul Wendkos est meilleure que celle de Burt Kennedy. Elle n'atteint cependant pas la classe du premier film, bien sûr. On sent quand même que les moyens ont été alloués afin d'obtenir un spectacle honnête.
Un village mexicain subit, non pas le harcèlement d'une bande de bandits comme c'était le cas dans les deux précédents films, mais celui de l'armée officielle du pays. N'ayant aucune aide des révolutionnaires dont le chef ne pense qu'à se distraire avec l'alcool et les femmes, les villageois n'ont pas d'autre choix que de chercher une aide extérieure.
Il s'agit quand même d'une vision très hollywoodienne du monde : vous, peuple opprimé, ne comptez pas sur vos sois-disant révolutionnaires locaux, ce sont des bons à rien, mais faites appel à nous, les valeureuses armes du monde libre car, pour vous sauver, nous sommes les meilleurs.
Le casting également est intéressant. S'il n'atteint pas la maestria de The magnificent seven, il a plus d'allure que celui du deuxième. Les efforts de caractérisation pour chaque personnage sont évidents ; et dans la bande, les bondophiles reconnaitront Bernie Casey (Felix Leiter dans Never say never again) et Joe Don Baker (Brad Whitaker dans The living daylights).
Guns of the magnificent seven n'est pas un chef d’œuvre mais il reste appréciable.
Un village mexicain subit, non pas le harcèlement d'une bande de bandits comme c'était le cas dans les deux précédents films, mais celui de l'armée officielle du pays. N'ayant aucune aide des révolutionnaires dont le chef ne pense qu'à se distraire avec l'alcool et les femmes, les villageois n'ont pas d'autre choix que de chercher une aide extérieure.
Il s'agit quand même d'une vision très hollywoodienne du monde : vous, peuple opprimé, ne comptez pas sur vos sois-disant révolutionnaires locaux, ce sont des bons à rien, mais faites appel à nous, les valeureuses armes du monde libre car, pour vous sauver, nous sommes les meilleurs.
Le casting également est intéressant. S'il n'atteint pas la maestria de The magnificent seven, il a plus d'allure que celui du deuxième. Les efforts de caractérisation pour chaque personnage sont évidents ; et dans la bande, les bondophiles reconnaitront Bernie Casey (Felix Leiter dans Never say never again) et Joe Don Baker (Brad Whitaker dans The living daylights).
Guns of the magnificent seven n'est pas un chef d’œuvre mais il reste appréciable.
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