Je n'imaginais pas apercevoir un nouveau tome de la bande dessinée Durango en parcourant les rayons d'une enseigne culturelle bien connue. En effet, Le crépuscule du vautour semblait vouloir conclure les aventures du pistolero créé par Yves Swolfs en 1981. De plus, le temps entre chaque nouvel album s'allongeait et Swolfs, bien que gardant la maîtrise du scénario, avait délégué le dessin à un autre dessinateur, Thierry Girod. Il me semblait aussi qu'il préférait se consacrer à d'autres séries de sa création (Le prince de la nuit, Légende).
Désormais, c'est à un certain Iko qu'est confié la mise en images. Bien qu'un peu trop chargé à mon goût, le graphisme m'a néanmoins rappelé celui des premiers albums dessinés par Swolfs lui-même, avant qu'il ne le "lisse". C'est plutôt plaisant car c'est principalement pour le style du dessin que je me suis attaché à ces westerns dès le milieu des années quatre-vingt.
Les nombreuses références au western font aussi partie du plaisir à lire cette série de bandes dessinées et ce nouvel opus en offre une belle. Est introduit ici le personnage de Franck qui a les traits de Henry Fonda, tel qu'il est dans le formidable film de Sergio Leone C'era una volta il west, et dans lequel il interprétait un bandit prénommé... Franck. De plus, l'une des cases, Durango tirant sur des hommes en long manteau au cours d'un face à face, est un évident clin d’œil à l'une de ses affiches.
L'histoire est dans la droite ligne de la série avec ses notables vénaux, ses hommes de main sûrs de leur dextérité à la gachette, sa blonde fragile et ses tirs de revolvers et de fusils pour régler les différends.
Cet inattendu dix-septième album fait plaisir et souhaitons qu'un dix-huitième voit le jour rapidement.
Désormais, c'est à un certain Iko qu'est confié la mise en images. Bien qu'un peu trop chargé à mon goût, le graphisme m'a néanmoins rappelé celui des premiers albums dessinés par Swolfs lui-même, avant qu'il ne le "lisse". C'est plutôt plaisant car c'est principalement pour le style du dessin que je me suis attaché à ces westerns dès le milieu des années quatre-vingt.
Les nombreuses références au western font aussi partie du plaisir à lire cette série de bandes dessinées et ce nouvel opus en offre une belle. Est introduit ici le personnage de Franck qui a les traits de Henry Fonda, tel qu'il est dans le formidable film de Sergio Leone C'era una volta il west, et dans lequel il interprétait un bandit prénommé... Franck. De plus, l'une des cases, Durango tirant sur des hommes en long manteau au cours d'un face à face, est un évident clin d’œil à l'une de ses affiches.
L'histoire est dans la droite ligne de la série avec ses notables vénaux, ses hommes de main sûrs de leur dextérité à la gachette, sa blonde fragile et ses tirs de revolvers et de fusils pour régler les différends.
Cet inattendu dix-septième album fait plaisir et souhaitons qu'un dix-huitième voit le jour rapidement.
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