Depuis que je l'ai vu au cinéma à sa sortie, Heat fait partie de ces films que je ne me lasse pas de regarder régulièrement. C'était la première fois que ces deux monstres du cinéma que sont Robert De Niro et Al Pacino avaient des scènes ensembles. Ils avaient déjà joué tous les deux dans un même film mais leurs personnages évoluaient dans des périodes différentes d'où l'absence de moments communs entre eux. Il s'agissait de The godfather part II. Cette information, si je me souviens bien avait d'ailleurs été l'un des arguments de promotion de Heat. Dans ce film, De Niro joue le rôle de Neil McCauley, le chef d'une bande de braqueurs que le lieutenant Hanna (Al Pacino) espère bien arrêter jusqu'à en être obsédé. A la fin (attention spoilers à venir), Hanna tire sur McCauley. Puis Hanna s'approche et prend la main de McCauley, un peu pour l'aider à passer de l'autre côté (fin des spoilers).
Point de commune mesure avec Rightehous kill (La loi et l'ordre en France) mais si je fais ce rapprochement entre le magnifique film de Michael Mann et la série B (aucun préjugé dans l'utilisation de ce terme de ma part, il y a d'excellentes série B) policière de Jon Avnet que je n'ai découvert que récemment, ce n'est pas parce que Robert de Niro et Al Pacino partagent l'affiche mais en raison d'une scène similaire à la fin mais inversée. Je ne sais pas si c'est voulu, je suppose uniquement que ça l'est, mais je trouve le parallèle amusant et surtout intéressant.
Une telle mise en regard n'est possible qu'avec de tels acteurs. Ils ont une carrière derrière eux, ils ont joué des rôles marquants dans des longs métrages devenus des références et souvent réalisés par des metteurs en scène qui savent se montrer exigeants.
C'est pour le plaisir de repérer ce genre de parallèle que j'aime le cinéma ; entre autres choses bien sûr.
De Rightehous kill, je n'attendais rien de plus que de passer un moment sympathique avec deux acteurs effectuant leur numéro de star au sein d'une intrigue plutôt calibrée et me voilà à pousser quelques réflexions sur le septième art.
Point de commune mesure avec Rightehous kill (La loi et l'ordre en France) mais si je fais ce rapprochement entre le magnifique film de Michael Mann et la série B (aucun préjugé dans l'utilisation de ce terme de ma part, il y a d'excellentes série B) policière de Jon Avnet que je n'ai découvert que récemment, ce n'est pas parce que Robert de Niro et Al Pacino partagent l'affiche mais en raison d'une scène similaire à la fin mais inversée. Je ne sais pas si c'est voulu, je suppose uniquement que ça l'est, mais je trouve le parallèle amusant et surtout intéressant.
Une telle mise en regard n'est possible qu'avec de tels acteurs. Ils ont une carrière derrière eux, ils ont joué des rôles marquants dans des longs métrages devenus des références et souvent réalisés par des metteurs en scène qui savent se montrer exigeants.
C'est pour le plaisir de repérer ce genre de parallèle que j'aime le cinéma ; entre autres choses bien sûr.
De Rightehous kill, je n'attendais rien de plus que de passer un moment sympathique avec deux acteurs effectuant leur numéro de star au sein d'une intrigue plutôt calibrée et me voilà à pousser quelques réflexions sur le septième art.
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